Tiens, pour faire constructif pour une fois : lors de la réponse au quizz musical, il pourrait être intéressant de repasser l'extrait concerné. En l'état, juste en parler est moyennement intéressant et n'aide pas ceux qui n'ont pas trouvé à se cultiver. C'est dommage car le concept en lui-même est très agréable.

Je me permets d'intervenir à nouveau pour signaler que vous n'aurez plus de remontrance de la part de Bernard Pivot. En effet, à la 5ème minute de votre émission, il est arrivé à ses oreilles un vilain "si j'aurais voulu". J'ai donc serré les dents en attente de son énervement et du tsunami de courroux que j'allais devoir traduire en langage châtié, mais il n'en fut rien : en effet, sur le sol gisait alors, immobile, un corps grimaçant de douleur, la main sur le cœur. Quelle belle métaphore pour vous signaler tout son amour, à vous, les héros de son lundi, même d'outre-tombe.

Citation de: pippoletsu le Août 28, 2013, 09:56:32 AM
Bernard Pivot serait il d'accord pour venir nous voir et fixer une fois pour toutes dans le marbre les règles exactes grammaticales fixant l'écriture de l'expression "jeux vidéo" ?

Bernard n'est là que pour signaler les choses évidentes qui font consensus (du genre le verbe "mourrirer"), mais il est trop intelligent pour se lancer dans un débat à l'issue incertaine. Pas folle la guêpe.

Je tiens à faire passer ici les remerciements de Bernard Pivot pour votre erratum. Il en est très satisfait et tient à signaler qu'il ne vous embêtera donc pas trop souvent.
Votre acte de transparence (même avec tentative de noyage de poisson) l'a convaincu à continuer à répandre votre podcast autour de lui.

Quant à moi, je tiens à signaler que ses avis lui sont propres, je ne fais que les relayer et suis déjà un apôtre d'HBGD.

Bonjour, je vous fais passer un message important.

CitationChers messieurs,

En tant que représentant du maintien d'une langue française, représentant modeste mais toutefois public, je me dois d'intervenir dans vos discussions. En effet, votre émission radiophonique diffusée via l'internet datée du dix-neuf août de l'année deux-mille-treize a fortement heurté ma sensibilité auditive. Littéralement. Je cite un extrait tiré de l'instant noté 41:28 sur mon lecteur musical : "le personnage ne mourira pas". Loin de moi l'idée de relever chaque approximation de la part de votre équipe (par ailleurs cultivée, me semble-t-il), mais celle-ci, non remarquée par l'ensemble du trio et ne semblant pas volontaire pour faire un bon mot, me parait du plus mauvais effet. Par la présente, je vous supplie donc de châtier ce crime comme il se doit, si possible sur place publique, par exemple lors du prochain "podcast" (notez mon effort d'adaptation).
En cas de non-réalisation de cette requête, je me verrai obliger de sévir plus régulièrement.

Cordialement,

Bernard Pivot.