Le problème c'est surtout que la Chine et les Emirats se placent déjà dans l'après-crise. La Chine rachète tous les émissions de titre qui trainent et investit dans le public-privé partout. Et les Emirats pareil, ils investissent dans le public-privé partout en s'invitant de plus en plus dans les conseil d'administration des grosses sociétés.