Equipe de France : Deschamps, des réservistes, des quenelles.

Démarré par Bakappoi, Mai 10, 2012, 07:38:26 PM

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glen


Baron.de.Münchhausen

Ils jouent ensemble, c'est juste un petit chambrage mais il a l'air vener sur la fin...

Pougli Kun

Tu peux le refaire en ajoutant un moment du match ou Ribery le viole et le score stp, puis une tête de Ribery en mode :hautain: :cool: ?

Spike Spiegel

Bah il s'est vengé en match parce qu'il me semble qu'il s'est embrouillé avec lui (Timoschuck (?!)) après qu'il ait séché Menez ou Nasri.

Hobes


Spike Spiegel


Hobes


luch78

Mais en fait vous faites trois pages de débat, à propos de choses qu'on est loin de découvrir au final :
-Mvila et diarra sont nuls depuis 1 an et n'apportent rien offensivement,
-la génération 87 c'est des branleurs qui courent pas sauf benzema qui a appris quelques trucs avec mou,
-ribéry croit qu'il est né en 87,
la défense on dirait qu'ils ont mangé un raclette avant chaque match tellement ils sont lourds et lents
-et... lloris et debuchy sont pas mauvais

Moi le seul truc qui m'étonne, c'est qu'on dirait presque qu'ils s'en foutaient de finir 1 ou 2eme au final. On aurait dit un match de coiffeur, mais sans l'envie des coiffeurs

Après Blanc a changé son fusil d'épaule pour evra/clichy, j'espère qu'il le fera en remettant Mvila au placard et en tentant enfin le Benzema/giroud, si nasri continue de marcher.

Bakappoi

par contre si je suis pour giroud/benzema, je le suis pas forcément pour le faire face à l'espagne :tapie:

pippoletsu


Alphonse

:capello:

CitationDes problèmes Ben Arfa et Nasri ?

Selon L'Equipe, une vive altercation aurait opposé Hatem Ben Arfa à Laurent Blanc après la défaite contre la Suède (0-2). Samir Nasri, lui, a été la cible de critiques internes.

«Ce que j'ai vu a quelque part réveillé en moi quelques démons». Florent Malouda a lâché une petite bombe mercredi en conférence de presse. L'ambiance au beau fixe, la reconstruction post-Knysna opérée depuis deux ans par Laurent Blanc, les «choses extraordinaires» que racontait Franck Ribéry il y a quelques jours ont volé en éclats dans le vestiaire français après la défaite contre la Suède (0-2). On est loin toutefois des insultes de Nicolas Anelka à Raymond Domenech ou de la grève du bus, d'ailleurs les deux joueurs incriminés (Hatem Ben Arfa, Samir Nasri) n'étaient pas en Afrique du Sud, mais les discours de solidarité régulièrement avancés paraissent aujourd'hui fragilisés.

«Les missiles» de Diarra à Nasri
Au cœur des cristallisations figure notamment Samir Nasri. Tout est venu de piques lancées par Alou Diarra, sitôt les Bleus rentrés dans le vestiaire après la fin du match contre la Suède. Abandonné par ses milieux offensifs, le capitaine de l'équipe de France a, selon L'Equipe, vivement reproché, en des termes parfois crus, le comportement de ces joueurs, leur absence d'implication défensive et leur engagement général. Pas directement nommé mais se sentant visé, Samir Nasri aurait alors demandé à son capitaine de rester au moins poli. Rien de grave a priori et rien que des moments banals dans un vestiaire après une défaite dans un contexte comme celui-là. «On s'envoie des missiles entre nous. Dans le vestiaire, il faut parfois s'envoyer quelques rafales», expliquait mercredi Florent Malouda, lequel n'avait pas voulu s'exprimer mardi soir parce qu'«on peut faire très mal en parlant à chaud devant les médias».


Ben Arfa se rebelle face à Blanc
Sauf que cet incident a été le déclencheur d'une énorme tension. Surpris au téléphone pendant que ses coéquipiers digéraient tant bien que mal la défaite, Hatem Ben Arfa s'est, légitimement, fait remonter les bretelles par Laurent Blanc. Après quoi, le joueur de Newcastle se serait levé droit face au sélectionneur, lui reprochant sa sortie à la 59e minute alors que «des joueurs plus nuls que moi» étaient sur le terrain et aurait invité Laurent Blanc à le renvoyer à la maison s'il n'en était pas satisfait. Là encore, la susceptibilité de Samir Nasri aurait été touchée par l'expression «plus nuls que moi». Le ton serait alors monté entre le Citizen et Ben Arfa, ce dernier reprochant au premier d'avoir simulé sa blessure (sortie à la 79e minute). Mercredi, Laurent Blanc a reconnu en conférence de presse que «ça a été chaud. Après une défaite, on a le sang un peu chaud, ça fait partie d'un vestiaire. Alors, on s'est refroidis avec une bonne douche», a-t-il tenté de dédramatiser.

Une fracture dans le groupe ?
Le pointage de ces comportements individualistes révèle que tous les traumatismes n'ont pas été totalement effacés. Il indique aussi le début d'une fracture au sein du groupe avec d'un côté des joueurs au temps de jeu modeste, qui ne comprennent pas en coulisses la confiance maintenue par le sélectionneur à des titulaires peu convaincants. Bref, tout ce que Laurent Blanc a voulu gommer depuis sa nomination en 2010. Ces événements auront-ils des répercussions pour le match contre l'Espagne ? Hatem Ben Arfa a entamé beaucoup de son crédit et Samir Nasri est de plus en plus contesté, non seulement pour son attitude, mais surtout pour son incapacité à endosser ce rôle de meneur-accélérateur qui doit alimenter Karim Benzema. Contre la Suède, le Citizen, ménagé mercredi (genou droit) n'a eu de cesse de ralentir le jeu français (4 touches de balle en moyenne). «Si on retombe dans nos travers, on repart en arrière et il faut tout recommencer à zéro. L'équilibre est fragilisé si on bascule de l'autre côté. A se servir de l'Euro pour briller individuellement, ça peut être contagieux. Et contre l'Espagne, ça peut faire très mal», prévient Florent Malouda.

pippoletsu


Spike Spiegel

Ah moi j'ai surtout entendu une altercation Nasri/Ribéry. Comme quoi. :nerd:

glen

:lourd: reste à savoir si les sources sont bonnes, mais les revendications de - de 13 ans de ben arfa là :lourd:

Alphonse