Les indécis, j'ai un peu peur qu'ils pensent que la NFP c'est le stalinisme avec le matraquage de LAREUM...

Bardella qui a été NUL qq soit le sujet. Mais c'est comme Troumpe hein, personne ne changera son vote :/

ça sent le 30% RN 30% NFP et 30% toutes les autres formations merdiques.
Et comme ils vont faire un arc RAIEPUBLICAIN contre le NFP...

Je suis vraiment pas confiant. D'autant que je vote "pour du beurre" de mon côté, le sortant, nationaliste corse, ayant 100% de chance d'être ré-élu.

Les aires marines, c'est clairement un soutien crypto-fassiste.

Citation de: glen le Juin 23, 2024, 12:54:41 AMWah dur et c'est déconseillé de faire le dlc en ng+ vu le niveau

NG7+ conseillé ?

Citation de: Nono le Juin 24, 2024, 01:17:59 PMBah je trouve le programme de LFI bien plus poussé et en avance sur ces sujets là. (Minorité, droits des LGBT, etc)
Les verts pour moi, c'est comme le PS = gauche molle.

Par contre, Marine remonte dans mon estime :
https://x.com/edwyplenel/status/1805146821867495475?t=crCdIVQGXTHrTvNb6Ldmig&s=19

CAMARADE NONO

Citation de: guyzou le Juin 24, 2024, 01:14:28 PMSinon l'édito de Nicolas Bouzou....        Comment Le Figaro a pu laissé publier une telle diatribe aussi fausse et stupide:

Nicolas Bouzou : «Les économistes qui soutiennent le programme de la gauche, reflet de la déconnexion des universitaires»

TRIBUNE - Le fait que le programme économique du Nouveau Front populaire soit soutenu par des universitaires est moins un indicateur de sérieux qu'une illustration du déclassement des intellectuels en France, estime l'essayiste*.

*Économiste et essayiste, Nicolas Bouzou a fondé le cabinet d'études économiques Asterès. Dernier livre paru: «La Civilisation de la peur» (XO Éditions, 2024).

Ceux qui, à l'instar de l'auteur de ces lignes, dénoncent depuis la fin de la semaine dernière le programme économique du Nouveau Front populaire comme un tract délirant s'affranchissant de tout contact, même lointain, avec la réalité et susceptible de placer la France sous tutelle du FMI en quelques mois se voient opposer un argument d'autorité massue : qui sommes-nous pour nous opposer à un programme soutenu voire conçu par des universitaires, parfois de très haut grade, à l'instar de Thomas Piketty ?

Cet argument d'autorité mérite qu'on s'y arrête car il est constitutif du débat public en France depuis l'après-guerre. Avec le recul, il est frappant par exemple de mettre en perspective le prestige qui fut celui de Jean-Paul Sartre, et, au bout du compte, le peu des traces qu'il a laissées. Reste de la philosophie de Jean-Paul Sartre l'existentialisme, mais qui ne fut qu'une actualisation synthétique de la centralité de l'humain chez Pic de la Mirandole au XVe siècle reprise par la suite par Rousseau. Son œuvre romanesque n'est plus lue par personne. Quant à ses prises de position sur l'URSS ou les États-Unis, elles font rétrospectivement hurler de rire tant elles étaient systématiquement à côté du sujet. Raymond Aron , marginalisé de son vivant par l'intelligentsia de gauche, est aujourd'hui, à l'inverse de Sartre redécouvert et lu à la faveur, notamment, de son analyse de la guerre ou des désillusions de la démocratie libérale, comme le fut Tocqueville à la fin du XXe siècle (en particulier grâce à François Furet).

L'écart français

Raymond Aron, justement, proposa en 1955 dans L'Opium des intellectuels une explication pénétrante du fait que les universitaires les plus hauts gradés de notre pays étaient enclins, dans le domaine des sciences sociales, à se tromper dans des proportions qui devraient être incompatibles avec leurs diplômes. L'explication d'Aron est double. D'une part, Aron souligne que l'intellectuel en France s'est historiquement construit par opposition à la société dans laquelle il vit, quelle qu'elle soit. D'autre part, Aron montre que la France est le pays dans lequel l'écart entre la position symbolique de l'intellectuel et sa position matérielle est le plus fort.

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En France, les intellectuels se considèrent comme chargés de la garantie éthique de la société et de ses grandes évolutions, dans un pays où l'université paie peu. Un universitaire en milieu de carrière perçoit moins de 2000 euros nets mensuels.  Certes la grille des salaires commencent à 1850€ nets/mois je crois, mais depuis 2008 tout le monde commence échelon 3 voir 4. En milieu de carrière nous sommes plutôt à 3500€ nets/mois sans prime ou avancement majeur.
Dans les pays anglo-saxons, les universitaires gagnent mieux leur vie avec des aspirations intellectuelles moins ambitieuses. Cet écart français nourrit un grand sentiment de la classe des intellectuels vis-à-vis de la société. S'ils sont si diplômés et si peu rémunérés, c'est la confirmation que la société doit être renversée !  Tout son raisonnement est basée sur ce postulat erroné de départ donc Les médias, qui raffolent du frisson contestataire voire révolutionnaire, les adorent. Surtout les media Bolloré en effet! 

Ce deuxième argument d'Aron est au cœur du soutien intellectuel au programme du Nouveau Front populaire, programme dominé par les délires économiques de LFI. L'idée « d'abolir » les « privilèges » des milliardaires relève ainsi d'un champ lexical révolutionnaire qui fait passer le ressentiment avant le raisonnement. En effet, il est facile de comprendre que la politique fiscale du NFP est un fusil à un seul coup. Une fois la base fiscale d'une catégorie de la population anéantie, elle devient indisponible. Sérieux, il arrive à s'enfoncer encore plus?    De fait, les enquêtes d'opinion montrent que LFI est soutenu avant tout par un « prolétariat intellectuel urbain », c'est-à-dire des diplômés (ou des artistes) qui gagnent assez mal leur vie. Je viens d'apprendre que j'étais prolétaire!  Ils applaudissent un programme basé sur la jalousie, l'envie de « faire les poches » de ceux qui ont réussi et la critique des institutions qui protègent notre démocratie libérale, au premier rang desquelles la police. Évidemment tous les professeurs d'économie à l'université ne votent pas en faveur de LFI. Ne soyons pas plus marxistes que les marxistes. Mais disons que leur situation les incite à le faire.


Il y a un troisième et dernier argument qu'Aron ne cite pas : l'absence de connexion entre l'université française et la vie pratique, surtout en économie. De toutes les figures qui soutiennent le programme du NFP, on ne trouve pas un seul créateur ou responsable d'entreprises. Et pour cause. Quand on n'a jamais eu à lever des capitaux, à développer un chiffre d'affaires, à rentabiliser un investissement, à recruter, à manager, à licencier, on manque irrémédiablement d'une compétence nécessaire à la formulation d'un jugement sur une polémique économique. Or une chose est certaine : les économistes qui soutiennent le programme du NFP sont incapables de gérer un État, mais ils seraient tout aussi incapables de gérer une baraque à frites.
Chapeau l'artiste! 

Mais tu sais que son surnom, chez les VRAIS economistes, c'est Bozo ?

Citation de: guyzou le Juin 22, 2024, 02:24:52 PMEuuuuuh. Non.

Si. Leur proposition phare des européennes, c'était les aires sous-marines.
Ca a SUPER BIEN marché.

Je pense comme même que Naintendeau va mourrir.

Perso, j'ai allumé la télé, j'ai vu le CSC, j'ai arrêté

Monza a fait une saison de malade l'an passé.

CT DEJA UN KONAR CHEZ MUSE JE LER TJS DI

Dupont MOretti, Darmanin, Alexis Kohler, elle est infinie côté LAREUM la liste...

Non mais il voudrait bien ce connard.