J'ai bcp de retard en films d'horreur, je commence à rattraper tout ça
The sadness, de Rob Jabbaz

Une épidémie qui transforme les gens en prédateurs tueurs sexuels. Bien fichu et rythmé, particulièrement gore et violent mais j'attendais un peu plus de fond, un peu de "
sociétal" comme souvent dans les films de zombie.
The medium, de Banjong Pisanthanakun

Produit na hong-jin (the stranglers), le film partage la même chouette photo mais ça s'arrête là : trop long pour ce qu'il raconte et un peu chiant une fois dans la seconde partie, hyper classique pour un film de possession.