Mais comme je le pressentais, ils nous ont bien fait traire des putains de vaches à ce moment du jeu, j'étais à 2 doigts du rage quit
Mais ça servait un propos et ça n'a pas duré trop longtemps, donc ça va. J'ai bien aimé la façon dont ils ont traité la relation entre marston et abigail avec la nécessaire évolution de John. Je me suis même supris à aimer ce personnage.
Ce qui m'amène à l'autre point fort du jeu (et de rockstar en général) : l'écriture des persos est tellement bien branlée. Pourtant au début du jeu c'était pas gagné car je pensais justement l'inverse et que tous les persos était complètement OSEF (faut dire que je sortais de yakuza 0, plutôt doué dans le domaine aussi).
Mais à la fin j'étais tellement deg' de savoir que je ne les reverrais plus. Arthur, bien évidemment, quel homme. Là encore au début de sa maladie je me suis dit que ça allait grave me saouler de l'entendre continuellement tousser, etc...Mais ça apporte tellement à son histoire, sa fin est tellement grande entre le passage de chapeau à John et ce plan magnifique avec le soleil levant
Sadie Adler, évidemment. Là encore son revirement de caractère m'avait au début paru complètement craqué. Mais elle devient tellement énorme...La mission où elle se venge finalement des o'driscolls était énorme.
Charles Smith aussi, l'hsitoire avec les indiens était aussi forte en émotions....
Parmi les points que je ne m'explique toujours pas en revanche:
- ce foutu gameplay d'un autre temps
- ce foutu systématisme dans le côté "nouveau lieu = massacre final dans le dit lieu (va vraiment falloir que rockstar se réinvente là dessus)
- Guarma : le plus grand hommage à "pendant ce temps à vera cruz" que j'ai vu. Complètement hors de propos et inutile.
- la bande de sauvages pendant l'épilogue : à quoi ça sert? qu'est ce que ça apporte?
- le traitement final de Dutch : je comprends pas.
