Politique : Stick gauche vs stick droit

Démarré par Shin, Mai 12, 2012, 10:36:12 AM

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Gmooron

Bah j'imagine qu'ils ont étudié le sujet :tanpi:
Et puis bon, c'est souvent toi qui est utilisé comme argument d'autorité ici alors hein :tapie:

Alphonse

L'effet d'aubaine est propre à toutes les incitations fiscales :ofou:

En revanche ça contribue très sensiblement à ceux qui les reçoivent et aux entreprises qui s'en servent :nerd: A un coût effectivement très élevé et sur une certaines tranches de salaires (salaires moyens : les bas salaires sont souvent des temps partiels, et les hauts salaires ne comptent pas les heures supp) qu'on peut considérer discriminées de façon positive. Pour une fois :nerd:

Bref qu'on les vire pour des raisons budgétaires je veux bien (ça revient à augmenter les impôts sur les salariés et les charges sur les entreprises), mais pas au prétexte de l'emploi ou de la justice sociale ou je ne sais quelle autre connerie :mourinholaisse:

Sodeg

L'argument à la base c'était travailler plus pour gagner plus. Logiquement si on les supprime, ça fera pas d'emploi en plus.

Cordialement,

NERDFOU

#93
no logic here. Si tu travailles plus c'est qu'il y a plus de boulot. Ce qu'ils disent c'est qu'au lieu de bosser plus, y a moyen d'embaucher.

Sodeg

C'est qu'il y a plus de boulot sur ton périmètre. C'est pas en ajoutant le nombre d'heures supplémentaires du service informatique, marketing ou logistique que tu crées un poste. De manière comptable oui, dans la pratique non.

Jb

Dans mon cas, on pourrait très bien moins travailler (du coup, travailler aux heures normales) et prendre un mec en plus dans l'équipe pour niveler le tout.
Mais vu que nos heures supp ne sont pas payées, on nous fait travailler plus (pour que le projet gagne plus).

Hobes

Idem ou je bossais avant. On pressait le citron au lieu d'embaucher une personne supplémentaire sur le projet.

Gmooron

Ça commence :
http://www.lemonde.fr/politique/article/2012/05/20/olivier-eyraud-conseiller-general-ump-se-presente-sous-l-etiquette-bleu-marine_1704317_823448.html
CitationOlivier Eyraud, conseiller général UMP, se présente sous l'étiquette Bleu marine

Glen, quelque chose à dire ? :aulaswtf:

Gmooron

Ya un gars qui se présente en se réclamant de Cheminade dans la circonscription benelux :wtf:

Et bien sûr, sa photo, c'est devant l'atomium de Bruxelles :clmdr:

NERDFOU

N A J A T dans la matinale de canal :leuv:

Alphonse

CitationLégislatives : Nadine Morano sous la menace d'une triangulaire avec le FN

Oh oui oh oui :leuv:

Alphonse

CitationFillon : "Copé ne peut prétendre être le leader de l'UMP"



Tout en s'en défendant, François Fillon entretient la guerre des chefs à l'UMP. L'ancien premier ministre a répété jeudi sur RTL qu'il n'y avait "plus de leader naturel" dans l'ancien parti majoritaire depuis le départ de Nicolas Sarkozy.

La veille, M. Fillon a mis fin au semblant d'unité que son rival Jean-François Copé et les ténors de droite voulaient afficher jusqu'aux législatives, en déclarant dans un entretien au Figaro Magazine à paraître vendredi : "Depuis le départ de Nicolas Sarkozy, il n'y a plus, à l'UMP, de leader naturel. Donc, il y aura une compétition."

Alors qu'on lui demandait s'il n'avait pas commis une faute en se déclarant trop tôt, comme l'a laissé entendre M. Copé en lui demandant la veille de ne "se mobiliser que sur les législatives", M. Fillon a souligné l'"hypocrisie" de son rival pour prendre le leadership de la droite dans la perspective de 2017.

"QUELLE HYPOCRISIE !"

"Quelle hypocrisie ! C'est une évidence que le départ de Nicolas Sarkozy laisse l'UMP sans leader naturel !" "Nicolas Sarkozy manque à l'UMP, c'est lui qui a très largement construit le succès de cette formation politique et il y a un vide depuis son départ que personne ne peut nier. Il n'est jamais trop tôt pour constater des évidences", s'est justifié celui qui est candidat aux législatives dans la capitale.

"Jean-François Copé fait parfaitement son travail mais il ne peut prétendre être le leader de cette formation sans qu'il y ait eu un débat démocratique et que les militants se soient prononcés", a encore lancé M. Fillon, qui veut donc reprendre la tête de l'UMP, jusqu'ici occupée par M. Copé.

Interrogé sur sa volonté de se présenter pour prendre la tête de l'UMP, exprimée la veille dans son entretien au Figaro Magazine, M. Fillon a déclaré : "Personne ne peut imaginer que je ne participe pas" à cette compétition. Le poste de président de l'UMP a été "gelé" pendant le bail élyséen de Nicolas Sarkozy. Selon ses statuts, l'UMP a quatre à six mois après la défaite du chef de l'Etat pour organiser un congrès et faire élire par les militants son président.

En revanche, si la droite gagne aux législatives, M. Fillon ne pense pas redevenir premier ministre. "Cela semble peu probable", a-t-il estimé.

TON OFFENSIF DE COPÉ

Le gaulliste social a également tenté d'atténuer la portée de ses propos en réfutant le terme de guerre de chefs : "Il n'y a pas de guerre, ce n'est jamais mon vocabulaire". Puis quand on lui a fait observer que ses propos sur l'absence de chef naturel ont été lancés alors que M. Copé mène la campagne des législatives, M. Fillon a aussicorrigé : "Pardon, pardon, pardon : la campagne des législatives est menée de manière collective. Nous l'avons décidée ensemble".

Mercredi, le numéro un de l'UMP a répliqué sur un ton offensif à la prise de position de M. Fillon. "La principale vertu d'un responsable politique, c'est le courage !", a lancé M. Copé, qui répète à l'envi, en privé, que M. Fillon est un homme sans troupes et que l'attelage qu'il a décidé de former avec Xavier Bertrand n'est qu'un "couple de circonstance".


Jeudi dans un entretien au Figaro, Henri Guaino, ancien conseiller spécial de M. Sarkozy, souligne qu'au sein des "talents qui peuvent prétendre remplir [le] rôle" de leader naturel de l'UMP, M. Copé "occupe une place éminente". Quant à Rachida Dati, proche de M. Copé, elle s'est dite "agacée" par M. Fillon qui "mine de rien, crée de la division", une attitude "pas très loyale" à ses yeux.



MOAR MOAR

Shin

Copé tente depuis quelques années de se présenter en successeur naturel de Sarkozy, il pensait vraiment que ça allait se passer comme il le voulait ?

Alphonse

Il a beaucoup d'appuis, notamment auprès des blaireaux de l'UMP (Morano, Estrosi, Dati, etc.)

Gmooron

:wtf:

Profession de fois d'une candidate a la deputation dans ma circonscription ...